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Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Registre 1860-1867 (copies)
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
C1860_1867_000
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Bureau des longitudes
Observatoire de Paris
Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine)
Rights
Information about rights held in and over the resource
CC BY-SA 3.0 FR
Type
The nature or genre of the resource
Collection
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
1860-1867
Procès-verbal
Président de la séance
Mathieu, Pierre Louis Aimé (1790-1870)
Transcripteur
Muller, Julien
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
C1860_1867_269
Title
A name given to the resource
Procès-verbal de la séance du 1er mars 1865
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Yvon Villarceau, Antoine Joseph François (1813-1883)
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1865-03-01
Type
The nature or genre of the resource
Manuscrit
Text
Procès-verbal
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
26,1 x 38,7 cm
image/jpeg
Language
A language of the resource
fr
Source
A related resource from which the described resource is derived
Registre 1860-1867 (copies)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Bureau des longitudes
Observatoire de Paris
Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine)
Rights
Information about rights held in and over the resource
CC BY-SA 3.0 FR
Description
An account of the resource
<p align="center">Procès-verbal de la Séance du 1<sup>er</sup> mars 1865.</p>
<p align="center">Présidence de M. l'amiral Mathieu.</p>
<p> </p>
<p>Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté.</p>
<p>Le Bureau reçoit :</p>
<p>Les n<sup>os</sup> 1515, 1516 des <i>Astron. Nachrichten</i> ;</p>
<p>Le n° 388 des <i>Annales hydrographiques</i> ;</p>
<p>Un volume portant le n° 383 du dépôt de la Marine et intitulé <i>la loi des Tempêtes</i>, par M. H. W. Dove, traduction de M. Legras [Le Gras].</p>
<p>M. Laugier communique un mémoire concernant la méthode Littrow, pour la détermination de l'heure en mer.</p>
<p>Une discussion s'engage sur l'opportunité d'inscrire dans la <i>Connaissance des temps</i>, un résumé de la méthode. On reprend la discussion sur les avantages de cette méthode.</p>
<p>M. Faye indique, d'après M. Littrow, les circonstances où son emploi est avantageux. La Marine marchande serait particulièrement appelée à en faire usage. Il signale la préoccupation des compagnies d'assurances à l'égard des progrès de l'art de la Navigation.</p>
<p>M. Yvon Villarceau dit qu'il serait important de fixer la place que doit occuper la nouvelle méthode envisagée au point de vue de la précision. Cette méthode est, de l'aveu de tout le monde, supérieure à l'estime, mais il serait nécessaire de le comparer à la méthode qui sert à déterminer la longitude par l'heure des chronomètres diminuées de l'heure du bord obtenue par les hauteurs absolues du Soleil.</p>
<p>M. Laugier dit que la comparaison est tout faite, puisque l'heure des chronomètres jouant le même rôle dans les deux méthodes, la différence des résultats fournit précisément celle des deux méthodes de déterminer l'heure.</p>
<p>M. Yvon Villarceau ne croit pas que la comparaison des deux méthodes doive être réduite à des termes si élémentaires. Il pense qu'on doit avoir égard à l'erreur à craindre, après un certain temps de navigation, dans l'état absolu des chronomètres non réputés mauvais. Par exemple, ne trouve-t-on pas, en attérissant, l'état des chronomètres, en erreur, de quantités qui vont jusqu'à 30 à 40<sup>s</sup>, et plus ? Or, devant de pareilles incertitudes, les erreurs d'une méthode de détermination de l'heure qui ne seraient que de 5 à 6<sup>s</sup> seraient évidemment insignifiantes. Une méthode rigoureuse d'avoir l'heure n'aurait pas d'avantages bien marqués sur l'autre, tandis qu'elle exigerait plus de temps pour les calculs, etc.</p>
<p>M. Darondeau pense qu'on pourrait se borner à l'emploi de la méthode Littrow dans le cours d'une navigation, en se réservant de recourir aux hauteurs absolues quand on serait sur le point d'attérir.</p>
<p>M. le président charge MM. Faye, Laugier et Darondeau d'examiner les documents relatifs à la méthode Littrow et de présenter un rapport au Bureau dans l'une des prochaines séances.</p>
<p align="right">Le Secrétaire Yvon Villarceau</p>