1
12
1
-
http://bdl.ahp-numerique.fr/files/original/e981deb6b4b9b28fa84f664c1a833f77.jpg
e7f121af6b22d45df2debf8a9219967b
http://bdl.ahp-numerique.fr/files/original/7f04287f4338d0ee9136b36f5374bdaa.jpg
4d3965f359511d36be2727b758f44b7f
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Registre 1868-1874 (copies)
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
C1868_1874_000
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Bureau des longitudes
Observatoire de Paris
Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine)
Rights
Information about rights held in and over the resource
CC BY-SA 3.0 FR
Type
The nature or genre of the resource
Collection
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
1868-1874
Procès-verbal
Transcripteur
Muller, Julien
Président de la séance
Mathieu, Claude-Louis (1783-1875 ; astronome) ou Mathieu, Pierre Louis Aimé (1790-1870)
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
C1868_1874_069
Title
A name given to the resource
Procès-verbal de la séance du 3 mars 1869
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Yvon Villarceau, Antoine Joseph François (1813-1883)
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1869-03-03
Type
The nature or genre of the resource
Manuscrit
Text
Procès-verbal
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
26 x 38,5 cm
image/jpeg
Language
A language of the resource
fr
Source
A related resource from which the described resource is derived
Registre 1868-1874 (copies)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Bureau des longitudes
Observatoire de Paris
Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine)
Rights
Information about rights held in and over the resource
CC BY-SA 3.0 FR
Description
An account of the resource
Procès-verbal de la Séance du 3 mars 1869.
Présidence de M. L. Mathieu.
Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté.
Le Secrétaire annonce la perte regrettable que le Bau vient de faire dans la personne de l'un de ses membres, M. Darondeau. Il rappelle la collaboration active et consciencieuse de notre regretté confrère dans les travaux qui lui avaient été départis, et les qualités personnelles par lesquelles il avait su conquérir l'estime et l'affection dont il était entouré. La cérémonie funèbre se terminait au moment même de l'ouverture habituelle de nos séances : Le Bau y a été représenté par cinq de ses membres. Le Bau partage les sentiments qui viennent d'être exprimés par son Secrétaire.
Le Bau reçoit les nos 1741, 1742 des Astr. Nachr.
Le 1er contient un mémoire de M. Hoek sur la différence des constantes de l'aberration d'après Delambre et Struve. Ce mémoire conclut l'impossibilité de discuter sûrement le coefficient de Delambre faute de donnée certaines et à la nécessité "d'une nouvelle détermination entreprise avec des précautions particulières."
Le 2e N° des Astr. Nachr. contient une observation du passage de Mercure sur le Soleil, faite par M. Liais à Atalaïa (baie de Rio-Janeiro) le 5 Nove 1868 et deux autres observations du même passage faites à Leyde, par MM. Kane & Kaiser.
M. Faye entretient le Bau des recherches entreprises par M. Struve, de l'observatoire de Greenwich, pour expliquer les variations de la latitude observée à Greenwich.
M. Faye discute la théorie exposée dans la précédente séance par M. Yvon Villarceau et suivant laquelle les positions des Etoiles fondamentales devraient être déterminés par des observations faites de concert en deux lieux différents et par les mêmes méthodes. M. Faye fait remarquer que la 1ère condition indiquée par M. Yvon Villarceau se trouve complètement réalisée par le concours des divers observatoires [en marge : et que, quant à celle de l'identité des méthodes, elle devient inutile, dès que les observateurs déterminent et… YV] déterminant les erreurs de leurs instruments. M. Yvon Villarceau n'a pas méconnu le fait de la coopération des divers observatoires et il s'appuie également sur ce fait ; mais il croit nécessaire de systématiser et de simplifier le travail. Il diffère d'opinion avec M. Faye, en ce que les corrections instrumentales n'ont réellement pas été toutes appliquées aux observations sur lesquelles sont basés les catalogues. Nulle part, si ce n'est, peut-être, à Poulkowa [Poulkovo] les flexions n'ont été convenablement mesurées ; et il estime, comme M. Faye, que le plus souvent, les températures n'ont pas été convenablement appliquées dans le calcul des réfractions. Il pense qu'il serait à peu près impossible d'obtenir, entre deux observations, l'accord nécessaire à de pareilles études et c'est pour cela qu'il demande que la moitié du travail soit effectué par une délégation d'astronome appartenant à l'observatoire qui entreprendrait ce genre de travail. Dans ce cas, le choix de l'emplacement d'un établissement temporaire resterait tout à fait libre, ce qui serait très avantageux. M. Liouville ne partage pas l'opinion de M. Yvon Villarceau. Il pense que l'accord entre deux observations serait facile à réaliser et il tient à ce que chacun d'eux fonctionne avec une entière indépendance. M. Faye estime que les difficultés sur lesquelles on réclame le concours de divers observatoires ou l'établissement d'observatoires temporaires en des stations diverses, peuvent être résolues par chaque Observatoire en particulier. On ne sait pas placer convenablement les thermomètres. Or, il a constaté que l'on parvient à faire concorder les observations de la Polaire, faites à Greenwich, en plaçant convenablement le thermomètre pour cette étoile. On trouverait, dit-il, pour des hauteurs différentes de la Lunette, les places convenables pour les thermomètres, et l'on réussirait aussi bien que pour la polaire. MM. Liouville et Villarceau trouvent que cette substitution d'un problème à un autre ne faciliterait pas la solution et que les mêmes difficultés resteraient à surmonter.
Le Secrétaire
Yvon Villarceau