Titre | Séance du 12 décembre 1838 |
Créateur | inconnu |
Contexte | Volume 1829-1843 |
Date | 1838-12-12 |
Identifiant | O1829_1843_514 |
Relation | C1827_1844_566 |
Format | 17,8 x 23,4 cm; image/jpeg; |
Éditeur | Bureau des longitudes; Observatoire de Paris; Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine); |
Droits |
CC BY-SA 3.0 FR |
Type | Manuscrit; Text; Procès-verbal; |
Description |
Séance du 12 décembre 1838
Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. M. Poisson, à l'occasion d'une question soulevée dans la dernière séance, rappelle que la tension de la vapeur d'eau salée en contact avec le liquide d'où elle provient, a une tension moindre que la vapeur provenant d'eau distillée. La tension est-elle la même dans le cas de la glace et de l'eau ? M. Biot répond que M. Gay-Lussac regarde ce dernier fait comme certain d'après ses expériences. M. Biot reprend la question de la réflexion totale sur les corps opaques et diaphanes. Il demande ce que l'on doit entendre par opacité. Le verre dévitrifié ne peut-il pas faire pénétrer dans le voisinage de la réflexion totale les rayons dans une très petite épaisseur voisine de sa surface ? M. Biot a cherché à rendre des lames cristallisées opaques tellement minces que les forces qui produisent la double réfraction et qui se manifestent aussi dans l'intensité des rayons réfléchis, ne conservassent plus d'influence. Mais il n'a pu obtenir une minceur suffisante. |
Type de document | Procès-verbal |
Transcripteur | Feurtet, Jean-Marie |
Collection | Volume 1829-1843 |
Citer ce document | “Séance du 12 décembre 1838”, 1838-12-12, Les procès-verbaux du Bureau des longitudes, consulté le 20 avril 2024, http://purl.oclc.org/net/bdl/items/show/2427 |
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