Titre | Communication au Bureau des Longitudes sur la montre à contact électrique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Créateur | Leroy, Louis (1860-1935) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Contexte | Volume 1914-1918 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Date | 1914-03-18 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Identifiant | O1914_1918_012 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Relation | O1914_1918_011 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Format | 20,2 x 31 cm; image/jpeg; | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Éditeur | Bureau des longitudes; Observatoire de Paris; Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine); | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Droits |
CC BY-SA 3.0 FR |
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Type | Dactylographié avec corrections manuscrites; Text; Communication; | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Description |
Annexe au procès verbal de la Séance du 18 mars 1914 18 Mars 1914 COMMUNICATION au Bureau des Longitudes sur la montre à contact électrique L’enregistrement photographique des contacts électriques a permis de constater l’inégalité des battements des pendules astronomiques. Suivant que l’enregistrement se fait au contact ou à la rupture, les différences de durée de plusieurs contacts consécutifs peuvent atteindre quelques centièmes de seconde. L’emploi du chronomètre de marine à échappement à détente est beaucoup plus satisfaisant, attendu que le décrochement de la détente est beaucoup plus bref que la chute de l’échappement d’une pendule. L’expérience a prouvé que les inégalités de deux battements semblables, c’est à dire repérés sur les secondes paires ou impaires, n’atteignent pas 9 millièmes de seconde. Les résultats très satisfaisants obtenus avec le chronomètre à deux corps de rouage, m’ont conduit, à la demande des astronomes qui font usage de l’astrolabe à prisme, à construire une montre de poche battant la ½ seconde, avec un interrupteur électrique, c’est à dire donnant par le déclanchement brusque de l’échappement ½ seconde de contact et ½ seconde de rupture. Avec le système d’écouteur par charge de condensateur, on a un bruit très sec à chaque fermeture de courant, c’est à dire à chaque seconde. J’ai l’honneur de présenter au Bureau des Longitudes la première de ces montres, que j’ai montée en circuit avec un téléphone haut parleur. On se rend facilement compte de l’avantage qu’il peut y avoir à posséder près de l’astrolabe un compteur battant la seconde avec force et précision, et repéré à la seconde 60 par une interruption d’une seconde. J’ai l’honneur de vous présenter, Messieurs, un enregistrement photographique des contacts et des ruptures de cette montre observé au diapason non entretenu, donnant 63 vibrations 7 par seconde. Vous pouvez constater que les contacts ont différé entre eux de 0 vibration 9, soit au maximum de 0 seconde 012 et que les ruptures n’ont pas différé de plus de 0 vibration 2, soit 3 millièmes de seconde. J’estime que cette montre compteur à contact peut rendre les plus grands services aux astronomes, soit qu’ils opèrent à la lunette méridienne, soit qu’ils opèrent à l’astrolabe, en voyage ou en mission, ou [où] les instruments horaires portatifs sont les seuls pratiques. Comme garde temps, elle peut en outre présenter un intérêt appréciable, tout en restant d’un prix modique. L. Leroy Fabricant de Chronomètres
Chaque vibration = 0sec,01569 A Différence maximum entre 2 secondes 0v,3 = 0sec,0045 Ruptures ou contacts B Différence maximum entre 2 secondes Rutpures 0v,2 = 0sec,0030 Contacts 0v,7 = 0sec,0105 |
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Type de document | Procès-verbal | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Transcripteur | Muller, Julien | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Collection | Volume 1914-1918 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Citer ce document | “Communication au Bureau des Longitudes sur la montre à contact électrique”, 1914-03-18, Les procès-verbaux du Bureau des longitudes, consulté le 29 mars 2024, http://purl.oclc.org/net/bdl/items/show/6258 |
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