Les procès-verbaux du Bureau des longitudes

Séance du mercredi 27 septembre 1826

Titre Séance du mercredi 27 septembre 1826
Créateur inconnu
Contexte Registre 1814-1827 (copies)
Date 1826-09-27
Identifiant C1814_1827_659
Relation O1821_1828_301
Format 25,5 cm x 38,7 cm; image/jpeg;
Éditeur Bureau des longitudes; Observatoire de Paris; Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine);
Droits CC BY-SA 3.0 FR
Type Manuscrit; Text; Procès-verbal;
Description

Les transcriptions ont été effectuées à partir des procès-verbaux originaux. De légères différences peuvent exister entre ces transcriptions et le texte des copies. Pour plus de détails, voir la présentation du corpus.

 

Séance du mercredi 27 septembre 1826

 

On lit le procès-verbal de la séance précédente. La rédaction en est adoptée.

M. de Rossel présente les éphémérides des distances de la lune aux planètes Vénus, Mars, Jupiter et Saturne pour l'année 1828, qui sont envoyées au Bureau par le Dépôt des cartes de Copenhague.

On lit une lettre de M. Bossan qui annonce l'envoi prochain au Bureau d'un opuscule de sa composition.

On reçoit le n° 1 du quinzième volume de la Correspondance de M. de Zach. On fait connaître l'objet des principaux articles qu'il renferme.

M. Mathieu rend compte au Bureau des observations qui viennent d'être faites par le Dépôt de la Guerre pour déterminer par la transmission du temps la différence de longitude entre Paris et Brest. Les signaux de feu ont bien réussi de Paris à Saint-Martin de Chaulieu où M. le colonel Bonne mesurait le temps absolu avec une lunette méridienne. On en aura une cinquantaine entre ces deux stations. On n'a pas été aussi heureux entre Brest et Saint-Martin ; le voisinage de la mer a beaucoup contrarié l'observation des signaux qui ont été donnés près de Brest. Cependant on est encore parvenu à réunir 25 à 30 feux pour la différence de longitude entre Brest et Saint-Martin. Ainsi on peut compter 25 feux sur toute la ligne et 50 de Paris à la station intermédiaire. M. Bonne a profité de l'établissement d'un petit observatoire à Saint-Martin pour y mesurer la latitude et l'azimut, et observer les oscillations d'un des pendules invariables qui ont servi dans le voyage de M. Freycinet. Avant de partir, M. Bonne a observé avec M. Mathieu les oscillations de ce pendule dans la salle de la méridienne de l'Observatoire.

Type de document Procès-verbal
Transcripteur Feurtet, Jean-Marie
Collection Registre 1814-1827 (copies)
Citer ce document “Séance du mercredi 27 septembre 1826”, 1826-09-27, Les procès-verbaux du Bureau des longitudes, consulté le 25 avril 2024, http://purl.oclc.org/net/bdl/items/show/8470

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