Titre | Séance du 14 mai 1817 |
Créateur | Delambre, Jean-Baptiste (1749-1822) |
Contexte | Registre 1814-1827 (copies) |
Date | 1817-05-14 |
Identifiant | C1814_1827_175 |
Relation | O1811_1820_341 |
Format | 25,5 cm x 38,7 cm; image/jpeg; |
Éditeur | Bureau des longitudes; Observatoire de Paris; Laboratoire d'Histoire des Sciences et de Philosophie - Archives Henri Poincaré (UMR 7117 CNRS / Université de Lorraine); |
Droits |
CC BY-SA 3.0 FR |
Type | Manuscrit; Text; Procès-verbal; |
Description |
Les transcriptions ont été effectuées à partir des procès-verbaux originaux. De légères différences peuvent exister entre ces transcriptions et le texte des copies. Pour plus de détails, voir la présentation du corpus.
Séance du 14 mai 1817 M. de Prony présente pour la bibliothèque une note sur un nouveau moyen de régler la durée des oscillations des pendules. M. Arago parle de nouvelles observations qu'il a faites sur la réfraction. Il regarde comme une chose certaine que la réfraction dans la vapeur d'eau diffère infiniment peu de celle qui s'opère dans l'air. Il aperçoit dans la réfraction une variation qui répond à un millimètre de changement dans la pression. Il expose la manière dont il fait les observations. Il a de plus observé un degré extraordinaire de sécheresse à l'hygromètre qui marquait 26. On croit que M. Biot commencera ses observations de pendule à Edimbourg et qu'il ira ensuite les continuer aux Orcades. Le calendrier de la Connaissance des tems de 1820 est achevé et il en a été délivré des exemplaires à M. Freycinet. M. Bouvard annonce que le ministre a approuvé les derniers comptes qu'il a présentés. Il demande pour le calculateur le plus nouveau, qui cependant travaille depuis neuf ans avec beaucoup de zèle, une augmentation de traitement ou une indemnité annuelle qui rapproche son traitement de celui du plus ancien. On objecte que ces traitements ont été fixés à 2400 francs et que le moment n'est pas favorable pour une augmentation. On parle de l'utilité d'une lunette conduite par un mouvement d'horlogerie. Mercure vu dans la grande lunette de M. Le Rebours a considérablement plus de lumière que dans toute autre lunette. On se propose d'observer l'ombre des satellites sur le disque de Jupiter. M. Le Rebours a lu à 100 toises de distance avec un grossissement de 2000 fois. |
Type de document | Procès-verbal |
Transcripteur | Feurtet, Jean-Marie |
Collection | Registre 1814-1827 (copies) |
Citer ce document | “Séance du 14 mai 1817”, 1817-05-14, Les procès-verbaux du Bureau des longitudes, consulté le 26 avril 2024, http://purl.oclc.org/net/bdl/items/show/7995 |
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